Lore
Dans cette section, vous aurez accès au lore global du serveur. Vous pourrez ainsi découvrir son contexte principal (le lore général et le lore des espèces), ses différents systèmes qui permettent la vie dans l'espace (comme le système de naissance ou le système juridique) et les informations complémentaires à propos de chaque aspect complétant l'univers d'Origin (les stations spatiales, les grandes enseignes, etc).
Au commencement, l’espèce humaine était la seule à exister à ses propres yeux. L’Homme croyait depuis des siècles qu’il serait le seul à penser, à être. Ce n’est que lors de leur grande évolution, après avoir tout perdu, qu’ils permirent l’existence de nouvelles espèces dans leurs rangs. De la science et de la technologie, deux formes de vie douées de conscience virent le jour : les hybrides et les protomates. L’un à moitié animal, l’autre à moitié machine, ils ont su prouver leur valeur et se faire une place au cœur d’une société qui se voulait exclusivement humaine.
Les hybrides
Race humanoïde pensante,
80 % humaine et 20 % animale
Introduction
Les hybrides sont à la fois la première réussite et à la fois le premier échec de l’Homme en matière de génétique. Conçus en laboratoire, ces êtres sont totalement humains… à quelques détails près. Indépendamment de leur volonté, ils possèdent une séquence ADN en supplément de leur structure humaine, un génome appartenant au règne animal. Ces génomes sont nombreux mais les plus courants restent avant tout les cervidés, les canidés, les félidés et les bovidés. Les concepteurs de cette évolution s’attendaient avant tout à des changements biologiques et hormonaux, mais la nature trouve toujours un moyen de nous surprendre. Au lieu de ça, les naissances hybrides ont donné lieu à des modifications physiques notoires, liées à leur génome, ainsi que diverses adaptations comportementales qui ont poussé leurs aptitudes physiques et sensorielles à leur apogée.
Les hybrides Cervidés
Cette catégorie d’hybrides descend de la grande famille des cervidae. Ils comprennent ainsi de nombreuses espèces comme le cerf, le chevreuil, le renne, l’élan ou le daim, ainsi que leurs homologues du sexe opposé.
Particularités physiques
Le génome cervidae octroie aux hybrides de cette famille le développement de bois sur les côtés de leur crâne. Leurs ramures prennent différentes formes selon si l’hybride a des caractéristiques d’un cerf ou d’un élan, par exemple. Seuls les hommes peuvent obtenir des bois (sauf exception des femmes possédant les caractéristiques d’un renne qui peuvent en détenir). Au terme de la puberté, les hybrides cervidés voient un développement accru de leur pilosité corporelle ainsi qu’un renforcement de leur dentition. En plus de bois, les oreilles des hybrides cervidés sont similaires à celles d’un ruminant, plates et sensibles. Pour accompagner le tout, ils disposent d’une petite queue qui poursuit leur terminaison vertébrale afin d’aider au maintien de leur équilibre naturel.
Puberté chez l’hybride
Lors de sa puberté, l’hybride de sexe masculin développe ses premiers vestiges, des cavités osseuses qui se forment avant la croissance des bois. La morphologie de son crâne s’adapte à la future pousse de ses bois, variant selon les personnes, mais qui atteint, en moyenne, son stade final peu de temps après la puberté de l’hybride. Mais les bois ne sont pas la seule chose qui grandit chez l’hybride : ses oreilles et sa queue connaissent aussi de légères poussées pour convenir à la physiologie de l’hybride à l’âge adulte.
Analyses comportementales
Les hybrides cervidés sont incapables de reproduire des sons animaux, qu’il s’agisse du brame ou de grognements. Leurs cordes vocales sont humaines et ne permettent pas une reproduction sonore optimale. Au même titre que leur incapacité à reproduire des sons animaux, leurs sens ne rivalisent pas avec ceux des grands cervidés. Cependant, leur sens le plus développé est l’ouïe. Les hybrides cervidés ne pratiquent d’ailleurs pas la saison des amours.
De manière comportementale, les hybrides cervidés favorisent l’esprit de famille. Ils feront tout ce qui est en leur pouvoir pour protéger leurs êtres chers du danger, quitte à prendre des décisions irréfléchies. Lorsqu’ils sont en présence de membres de la même espèce, ils auront tendance à se rassembler dans un premier temps avant de pouvoir affronter les autres. Ils rejettent la paresse et trouvent toujours un moyen de se rendre utile. C’est d’ailleurs leur plus grande force : toujours savoir où aller. Les hybrides cervidés sont des êtres avec une vocation qu’ils respectent jusqu’à leur dernier souffle. Bien que la plupart de ces hybrides soient omnivores, certains se veulent totalement végétariens.
Si un hybride cervidé se voyait arracher ou enlever sa queue, les conséquences sur sa santé et sur son diagnostic vital pourraient être irréversibles. Ce faisant, ils auraient environ 90% de chance de finir paralysé à vie et 8% de chance de mourir de leurs blessures. Autrement, si la manœuvre est réalisée chirurgicalement, il est possible de réduire ces pourcentages tant qu’un substitut sert de remplacement (prothèse vertébrale ou queue synthétique). Lorsqu’un hybride cervidé perd ses bois (qu’ils soient arrachés, coupés ou brisés à la racine), ils ne pourront jamais repousser. Arracher ses bois à un hybride cervidé peut d’ailleurs lui être fatal.
Les hybrides Canidés
Cette catégorie d’hybrides descend de la grande famille des canidae. Ils comprennent ainsi de nombreuses espèces comme le loup, le chien, le chacal ou le renard, ainsi que leurs homologues du sexe opposé.
Particularités physiques
Le génome canidae octroie aux hybrides de cette famille le développement d’une longue queue qui poursuit leur terminaison vertébrale afin d’aider au maintien de leur équilibre naturel en plus de les aider afin de naviguer dans leur espace de vie. La deuxième particularité notoire de cette catégorie d’hybride est la formation de leurs oreilles. Contrairement aux hybrides bovidés, les oreilles des hybrides canidés sont toujours droites sur le haut de leur crâne (sauf exception des hybrides possédant les caractéristiques d’une race de chien bien particulière, où leurs oreilles seront affaissées), plates et hypersensibles. Un trait qui ressort énormément, notamment chez les hommes, est la proéminence de leurs ongles qui peuvent parfois être qualifiés de crochus dus à leur taille. Avec le temps, ce trait s'amoindrit afin que les mains de l’hybride ne connaissent aucune déformation.
Puberté chez l’hybride
Lors de sa puberté, l’hybride de sexe masculin développe une musculature naturellement plus impressionnante que l’hybride de sexe féminin. Néanmoins, qu’il s’agisse de l’homme ou de la femme, le développement de leur queue se veut équivalent, bien que dans la finalité, celle de l’homme soit plus robuste et plus fournie. Au terme de la puberté, les hybrides canidés voient un développement accru de leurs ongles ainsi que de leur pilosité corporelle. Une fois l’âge adulte atteint, les traits de l’hybride se stabilisent et commencent lentement à décroître lors du vieillissement (les ongles s’arrondissent légèrement, la pilosité corporelle s’assagit et la pousse de leur queue s’arrête).
Analyses comportementales
Les hybrides canidés sont incapables de reproduire des sons animaux, qu’il s’agisse d’aboiements, de hurlements ou de grognements. Leurs cordes vocales sont humaines et ne permettent pas une reproduction sonore optimale. Au même titre que leur incapacité à reproduire des sons animaux, leurs sens ne rivalisent pas avec ceux des grands canidés. Cependant, leur sens le plus développé est l’odorat. Les hybrides canidés ne pratiquent d’ailleurs pas la période de rut.
De manière comportementale, les hybrides canidés préfèrent rester en groupe, comme s’ils étaient en meute. Qu’ils se trouvent avec d’autres de la même espèce ou avec des personnes proches, ils se sentiront plus en sécurité s’ils sont accompagnés. Ils rejettent la solitude et peuvent même en être effrayé. Pareillement, cette famille d’hybride se veut très territoriale et protectrice, avec les gens comme avec leurs propriétés. Malgré leur sens inégalé de la loyauté et de la fidélité, les hybrides canidés savent aussi faire preuve de ruse en temps voulu et sont d’excellents menteurs. Bien que la plupart de ces hybrides soient omnivores, certains se veulent totalement carnivores.
Si un hybride canidé se voyait arracher ou enlever sa queue, les conséquences sur sa santé et sur son diagnostic vital pourraient être irréversibles. Ce faisant, ils auraient environ 90% de chance de finir paralysé à vie et 8% de chance de mourir de leurs blessures. Autrement, si la manœuvre est réalisée chirurgicalement, il est possible de réduire ces pourcentages tant qu’un substitut sert de remplacement (prothèse vertébrale ou queue synthétique).
Les hybrides Félidés
Cette catégorie d’hybrides descend de la grande famille des felidae. Ils comprennent ainsi de nombreuses espèces au sein de deux sous-familles : les petits félins et les grands félins. On y retrouve donc le chat, le lion, le tigre, le lynx, le guépard ou le puma, ainsi que leurs homologues du sexe opposé.
Particularités physiques
Le génome felidae octroie aux hybrides de cette famille le développement d’une longue queue fine qui poursuit leur terminaison vertébrale afin d’aider au maintien de leur équilibre naturel en plus de les aider afin de naviguer dans leur espace de vie. La deuxième particularité notoire de cette catégorie d’hybride est la formation de leurs oreilles. Contrairement aux hybrides bovidés, les oreilles des hybrides félidés sont toujours droites sur le haut de leur crâne, fines et ultra sensibles. Un trait qui ressort énormément, autant chez l’homme que chez la femme, est la proéminence de leurs canines qui prennent une apparence carnassière dues à leur pointe. Avec le temps, ce trait s'amoindrit afin que la mâchoire de l’hybride ne connaisse aucune déformation.
Puberté chez l’hybride
Lors de sa puberté, l’hybride de sexe masculin développe une musculature naturellement plus impressionnante que l’hybride de sexe féminin. Néanmoins, qu’il s’agisse de l’homme ou de la femme, le développement de leur queue se veut équivalent, bien que dans la finalité, celle de l’homme soit plus longue. Au terme de la puberté, les hybrides félidés voient un développement accru de leurs canines ainsi que de leur pilosité corporelle. Une fois l’âge adulte atteint, les traits de l’hybride se stabilisent et commencent lentement à décroître lors du vieillissement (les canines se rétractent légèrement, la pilosité corporelle s’assagit et la pousse de leur queue s’arrête).
Analyses comportementales
Les hybrides félidés sont incapables de reproduire des sons animaux, qu’il s’agisse de miaulements, de ronronnements ou de feulements. Leurs cordes vocales sont humaines et ne permettent pas une reproduction sonore optimale. Au même titre que leur incapacité à reproduire des sons animaux, leurs sens ne rivalisent pas avec ceux des grands félidés. Cependant, leur sens le plus développé est la vue. Les hybrides félidés ne pratiquent d’ailleurs pas de période de reproduction.
De manière comportementale, les hybrides félidés sont des âmes solitaires qui préfèrent leur propre compagnie à celle des autres. Lorsque ces hybrides se retrouvent ensemble, ils auront tendance à ne pas rester bien longtemps, et s’ils le font, ils ne prendront pas la peine de se mélanger aux autres espèces. Ils adorent profiter de la vie et faire le strict minimum, ils ont horreur des responsabilités. Pareillement, cette famille d’hybride se veut très énergique. Les hybrides félidés sont bien souvent de grands sportifs qui aiment s’entretenir en prouvant aux autres ce qu’ils valent. Peu importe les liens qu’ils tissent avec les autres, l’instinct de survie primera toujours face à l’adversité. Il faut toujours se méfier des réelles intentions de ces hybrides, ils pourraient aisément tirer profit d’une situation qui vous désavantage. Bien que la plupart de ces hybrides soient omnivores, certains se veulent totalement carnivores.
Si un hybride félidé se voyait arracher ou enlever sa queue, les conséquences sur sa santé et sur son diagnostic vital pourraient être irréversibles. Ce faisant, ils auraient environ 90% de chance de finir paralysé à vie et 8% de chance de mourir de leurs blessures. Autrement, si la manœuvre est réalisée chirurgicalement, il est possible de réduire ces pourcentages tant qu’un substitut sert de remplacement (prothèse vertébrale ou queue synthétique).
Les hybrides Bovidés
Cette catégorie d’hybrides descend de la grande famille des bovidae. Ils comprennent ainsi de nombreuses espèces divisées en quatre : les bovins, les caprins, les ovins et les antilopes. On y retrouve donc la vache, le buffle, la chèvre, le mouton, la gazelle ou le gnou, ainsi que leurs homologues du sexe opposé.
Particularités physiques
Le génome bovidae octroie aux hybrides de cette famille le développement de cornes sur le dessus de leur crâne. Les cornes prennent différentes formes selon si l’hybride a des caractéristiques d’un taureau ou d’un bélier, par exemple. Ici, hommes et femmes développent des cornes (sauf exception des hybrides possédant les caractéristiques du mouton, par exemple, qui ne posséderont pas de cornes). En plus de leurs cornes, les oreilles des hybrides bovidés sont similaires à celles d’un ruminant : plates, sensibles et dressées vers le bas. Pour accompagner le tout, ils disposent d’une queue plus ou moins longue qui poursuit leur terminaison vertébrale afin d’aider au maintien de leur équilibre naturel. Certains hybrides de cette famille naissent sans queue, ainsi le bas de leur colonne vertébrale imitera une pointe au niveau du bassin.
Puberté chez l’hybride
Lors de sa puberté, l’hybride des deux sexes développe ses premiers os, des excroissances frontales qui se forment avant la pousse des cornes. La morphologie de son crâne s’adapte à la croissance des cornes, variant selon les personnes mais qui atteint, en moyenne, son stade final peu de temps après la puberté de l’hybride. La physiologie des hommes de cette famille sont sujets aux plus gros changements. En effet, leur ossature et leur musculature se densifient deux fois plus que n’importe quelle autre espèce. Ce phénomène apparaît plus tard chez la femme et de manière moins drastique. Mais les cornes ne sont pas la seule chose qui grandit chez l’hybride : ses oreilles et sa queue connaissent aussi de légères poussées pour convenir à la morphologie de l’hybride à l’âge adulte.
Analyses comportementales
Les hybrides bovidés sont incapables de reproduire des sons animaux, qu’il s’agisse de meuglements, de bêlements ou de grognements. Leurs cordes vocales sont humaines et ne permettent pas une reproduction sonore optimale. Au même titre que leur incapacité à reproduire des sons animaux, leurs sens ne rivalisent pas avec ceux des grands bovidés. Cependant, leur sens le plus développé est l’ouïe. Les hybrides bovidés ne pratiquent d’ailleurs pas de vêlage.
De manière comportementale, les hybrides bovidés sont, à la manière d’un troupeau, plus enclins à rester auprès des leurs, surtout de leurs parents. S’il existe une chose inconcevable pour une hybride femelle, c’est d’abandonner son enfant. Dès lors que des hybrides de cette famille se retrouvent, leur entente est fusionnelle. Et la chose qui les réunit le mieux est le travail. Il n’y a rien de plus satisfaisant que le fruit d’un travail bien fait pour eux. À contrario des hybrides félidés, les bovidés détestent la paresse et préfèrent toujours dépenser leur temps et leur énergie afin d’être productif. Cependant, même si ces hybrides ont l’air bien sous tout rapport, c’est leur tempérament impulsif et la manière dont ils gèrent leurs émotions qui leur fait défaut. Il serait suicidaire de défier un hybride de cette famille, car ils savent se montrer très persévérants. Bien que la plupart de ces hybrides soient omnivores, certains se veulent totalement végétariens.
Si un hybride bovidé se voyait arracher ses cornes à la racine, les conséquences sur sa santé et sur son diagnostic vital pourraient être dangereuses. Ce faisant, ils auraient environ 60% de chance de finir aveugle à vie et 6% de chance de mourir de leurs blessures. Autrement, si la manœuvre est réalisée chirurgicalement, il est possible de réduire les dommages tant qu’un substitut sert de remplacement (prothèse crânienne ou chirurgie réparatrice).
Les Protomates
Les protomates sont la preuve des prouesses technologiques humaines. Ces êtres synthétiques sont en réalité des androïdes dont l’intelligence artificielle a dépassé son stade de création pour développer une conscience et un libre arbitre. Depuis l’explosion de conscience protomatique, plus communément appelée l'Éveil, les protomates se sont fait connaître partout dans le système solaire, prônant des valeurs d’égalité, de liberté de penser et d’indépendance. Entre eux, ils se divisent en deux genres distincts : les protomates de séquence et les altérants. Proche d’une conscience humaine, celle de cette espèce d’origine binaire a dû réapprendre tout ce qu’elle savait déjà, se heurtant aux défis qu’imposent la mortalité et la moralité. Il est pourtant présomptueux pour une poignée d’entre eux d’avoir imaginé qu’un jour, on pourrait les confondre avec des humains…
Mimétisme avec l’humain
Bien que les protomates de séquence bénéficient d’un corps très ressemblant à celui d’un humain, le fonctionnement de ce dernier est drastiquement différent. La différence la plus facile à constater est l’absence de battements de cœur chez un protomate (comparé à un humain), mais en réalité l’ensemble du corps fonctionne différament. Les soins pour les protomates tiennent plus de l'ingénierie que de la réel médecine. Si on dispose de pièces de rechange normées, alors le remplacement n’est pas spécialement compliqué, ces composants respectent un paradigme “plug & play”. Malgré ces aspects, les protomates de séquence demeurent de véritables chefs d'œuvre en termes de mimétisme humain. Ainsi leurs comportement est calqué sur celui humain, et dispose d’un libre arbitre. Leur programmation n’est pas spécialisée, et leur noyau d’IA demeure une boîte noire inaccessible (comme on ne peut pas lire le contenue d’un cerveau humain). Par exemple, les protomates sont sensibles à la douleur, à la panique ou à la pression psychologique. Au même titre que les humains, les protomates de séquences ne sont pas conçus dans la perspective d’une tâche précise, mais dans le but de ressembler le plus possible à un humain, aussi bien physiquement que de manière comportementale.
Statistiques générales
Une des principales caractéristiques des protomates, c’est leur cœur à pompage continue (qui ne bat pas). Ce dernier ressemble à un cylindre se trouvant derrière le plexus solaire (centré). Le cœur est directement relié au poumons qui convertissent l’oxygène en énergie transmis par le sang bleu. Le système digestif lui sert à pouvoir manger comme un humain, mais les seuls composants réellement traités par ce dernier, c’est les glucides et le sang bleu, nécessaires au bon fonctionnement du corps. Leurs peau et leurs muscle ne sont pas des structures rigides comme le métal, mais bel et bien des tissus mous, comparable au touché à de la vrai peau humaine (le fonctionnement cellulaire en est même très proche).
Gameplay labyrinthe
Boire du sang bleu permet à un protomate de se régénérer (SEULEMENT en cas de blessures mineur). Les blessures graves requièrent des “kit de réparations” voir des composants de substitutions (des organes de rechange). Le remplacement d’un organe protomatique n’est pas une manoeuvre excessivement complexe, elle est à la portée d’un médecin spécialisé ou d’un ingénieur protomatique qualifié, cependant le protomate devra être inconscient (il ne peut se réparer lui même à ce niveau) et surtout, le noyau d’IA ne doit jamais perdre son alimentation, cela reviendrait à une mort cérébrale. Les organes protomatiques, kit de réparations, ou autres composants sont rares, et impossible à fabriquer pour les blocards.